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Foire aux questions:
plus sur les Conquérants

Les dix jours impossibles
daynohan dim 07 avril 02 22:02:44



Résumé succinct du dernier livre publié des Evadés du Temps.
Petite anecdote de l'auteur sur l'écriture de ce récit..

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Dix jours impossibles

Correspondance privée du 31 juillet 1986.
daynohan le dim 07 avril 02 22:12:23



Actuellement, je travaille à la 9ème aventure des Evadés du tempsThierry et ses amis vont partir (par erreur) en l'an 1618 et rencontrer (sans l'avoir voulu) un des futurs "Trois Mousquetaires" alors âgé de 15 ans et ignorant tout de son futur destin.
L'histoire s'appelera (si le titre n'est pas changé deux ou trois fois entretemps) Les dix jours impossibles.

Anecdote:

-je n'ai jamais eu autant de peine à terminer un livre - et je ne sais pas pourquoi; j'ai l'impression que tout est plus difficile pour ce livre-ci que les autres (correspondance du 15 octobre 1986)

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Mission sans retour
daynohan dim 07 avril 02 18:29:32


Mission sans retour

Je vous présente la première version de Mission sans retour, une partie du chapitre III (La belle époque).

Cette histoire ne devait pas faire partie de la série des Conquérants de l'impossible, elle avait donc de nouveaux héros. Mais finalement, nos quatre conquérants ont repris du service...

Dans cet extrait, Julien remplace Serge, mais Marine garde son rôle.

(Le livre Mission sans retour est sorti en 1996).

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Extrait du chapitre III (La belle époque), voyage temporel en 1900.
daynohan le dim 07 avril 02 18:58:39

 

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L'électro-aimant fut amené de Grenoble avec sa génératrice, sur une grosse remorque à seize roues, et fut installé dans la campagne aux environs de Moruel. Le professeur n'hésita pas à se déplacer aussi, et il vérifia le câblage avec beaucoup de soin.

"Il est très facile de se tromper dans les connexions, expliqua-t-il. Et je ne veux pas vous envoyer dans l'avenir par erreur."

Marine et Julien étaient habillés comme on l'était en 1900 - sans trop de chic et sans excès de pauvreté, afin de passer inaperçus. Chacun d'eux portait, bien cachée sous ses vêtements, la ceinture d'autinios qui devait permettre le voyage temporel. Hormis cette ceinture, rien de ce qu'ils portaient sur eux ne montrait qu'ils venaient de la fin du XXème siècle.

"Bon sang! Vous avez quand même une rude chance, vous deux!"

Bien que très déçus de ne pas prendre part à l'expédition, François et Jean-Louis avaient voulu assister aux préparatifs - et ils tournaient autour de l'électro-aimant comme deux oursons attirés par un grand pot de miel.

"Pas tant que tu crois!" répondit Marine, à mi-voix.

Elle n'en dit pas davantage, et Julien lui-même n'avait pas envie d'en dire plus. Il se sentait mal à l'aise dans ses vêtements de 1900, un peu comme s'il était déguisé. Le départ était fixé à cinq heures du matin, et les préparatifs étaient à peu près terminés. Toutes les deux ou trois minutes, machinalement, Julien levait son poignet gauche pour voir l'heure - mais bien entendu, sa montre était un des objets qu'il ne pouvait emporter en 1900.

Alors, il demandait l'heure à son oncle, ou à l'un des techniciens. Pendant qu'on raccordait l'électro-aimant, le professeur avait expliqué rapidement comment les choses allaient se passer.

"Le voyage temporel ne présente, en lui-même, aucun danger. En outre, il est instantané. Au moment voulu, vous vous placerez entre les pôles de l'électro-aimant, et vous ne bougerez plus. Compris?

- compris, mon oncle.

- Nous autres, nous nous occuperons de régler le voltage à bonne valeur. Et, bien-sûr, il faudra un certain temps, parce que çà doit être bien fait. Je ne veux pas risquer de vous expédier ailleurs qu'à la date choisie...

Et quand tout sera prêt, il ne faudra plus un seul geste. Vous serez prévenus par le compte à rebours, que je ferai moi-même à haute voix: 5-4-3-2-1-0... Au moment où je compte zéro, j'envoie le voltage dans l'électro-aimant, et vous filez vers le passé. C'est bien compris?"

Pour toute réponse, les deux adolescents hochèrent la tête. Sans avoir vraiment peur, Julien aurait voulu que tout se termine très vite, et il se sentait incapable de prononcer un seul mot. Ce qui n'arrangeait rien, c'était de savoir que François et jean-Louis, à quelques pas d'eux, auraient donné dix ans de leur vie pour partir... Alors le professeur retourna vers l'électro-aimant, pour un nouveau contrôle. Une fois de plus, Julien jeta un coup d'oeil à son poignet - inutilement - puis se tourna vers Jean-Louis.

"Il est quelle heure?
-Moins vingt.
-Merci"

Julien fit quelques pas au hasard, en donnant des coups de pied dans les hautes herbes pour chasser son enervement. En même temps, toutes sortes de pensées lui trottaient par la tête.

"Il ne fait pas chaud, ce matin... Et si on arrive bien en 1900, mais qu'on tombe sur un os... Si on fait une gaffe, et si les gens de 1900 s'aperçoivent qu'on vient d'ailleurs...
Qu'est-ce qu'ils vont nous faire?... Et si nous ne pouvions pas revenir?. Ce serait quand même idiot, d'aller se faire pieger là-bas..."

Marine montrait moins sa nervosité, mais on la sentait crispée, elle aussi. Ce qui lui pesait le plus, c'était sa robe 1900.

"Bon sang! Je deviendrais folle, s'il me fallait porter ça tout le temps! je ne comprends pas comment les femmes acceptaient de s'attifer comme ça."

Un peu plus tard, sans motif apparent, les minutes se mirent à passer plus vite et le professeur annonça que tout était prêt.

"C'est le moment. Vous allez vous mettre en place, et nous commençons... D'accord?
-D'accord, tonton."

Julien sentit tomber son énervement tout à coup, rien qu'à savoir que la longue attente était finie et que l'aventure allait enfin commencer. Il se glissa avec Marine entre les pôles de l'électro-aimant - il y avait tout juste assez de place pour eux... A présent, c'étaient les deux autres qui semblaient les plus émus. Jean-Louis leva les mains en croisant les doigts, pendant que ses lèvres formaient deux mots qu'il n'osait pas prononcer:

"Bonne chance!"

Alors s'éleva le bourdonnement régulier de la génératrice - d'abord grave, puis toujours plus aigu à mesure qu'elle prenait de la vitesse. D'où il se trouvait, Julien voyait son oncle au tableau de commande - surveillant avec soin la lente montée du voltage. Le garçon sentit que son coeur battait plus vite, et il chuchota dans l'oreille de Marine:

"Plus question de reculer, maintenant.."

Quelques secondes plus tard, ce fut la voix du professeur:

"Attention! Plus un geste, à présent! Cinq. Quatre. Trois. Deux. Un. Zé..."

***

Objectif nulle part
daynohan lun 01 avril 02 15:52:14

Le résumé du livre paru en 1986 a servi de base à l'écriture du récit de l'avant dernier ouvrage des Evadés du temps.

Objectif Nulle part

Chapitres 1 à 3

daynohan le lun 01 avril 02 16:23:10


Chapitre 1


Thierry, Didier, Kouroun et Noïm découvrent au bord d'une route, à la nuit tombée, un garçon de quinze ans. Il a des égratignures et des traces de coups sur le visage et sur les mains; il est inconscient, mais son coeur bat et il respire normalement.

A voir la façon dont il est étendu sur la route, Thierry et ses compagnons supposent qu'il est simplement évanoui. Un médecin de l'endroit - une jeune femme de 25 à 30 ans - passe à ce moment. Elle arrête sa voiture et examine le garçon, qui reprend conscience assez rapidement.

Ce garçon - jean-Marc -n'a apparemment aucune blessure sérieuse, mais il ne se rappelle pas du tout comment il a pu arriver sur cette route, et il n'a même aucun souvenir de son passé. La jeune femme, quant à elle, ne peut s'attarder car ses malades l'attendent. Elle offre gentiment de conduire Jean-Marc à l'hôpital le plus proche où, par acquit de conscience, on fera quelques radios de contrôle - mais le garçon n'y tient pas.

D'autre part, Thierry et ses compagnons semblent tout à fait décidés à l'aider - en sorte que, tout bien pesé, la jeune femme finit par laisser Jean-Marc entre leurs mains.

***


Chapitre 2


Thierry et ses compagnons emmènent Jean-Marc dans une petite auberge à proximité, et entreprennent alors de faire le point posément. L'absence totale de souvenirs du garçon complique évidemment les choses, mais Noïm réussit toutefois à tirer quelques conclusions en posant des questions adroites et en utilisant en même temps ses facultés supranormales.

Jean-Marc a vraiment "perdu" tout son passé, mais il lui reste le sentiment - très fort - d'une tâche importante qu'il doit accomplir, coûte que coûte. Il ignore quelle est cete tâche, mais il est sûr qu'elle doit nécessairement être accomplie dans un certain endroit, et pas ailleurs - il faut d'abord découvrir cet endroit.

Les égratignures qu'il porte sur le visage et sur les mains ne peuvent avoir été produites par un choc avec une auto: Jean-Marc a donc dû traverser un champ de ronces ou un sous-bois très touffu avant d'arriver à la route où on l'a découvert.

En étudiant avec soin la carte de la région, Kouroun parvient à la conclusion que l'endroit d'où il vient est le château d'Iss-Nur - un château fort très ancien, abandonné depuis longtemps, et qui se trouve à une vingtaine de kilomètres.

***


Chapitre 3


L'exploration du château d'Iss-Nur promet d'être assez hasardeuse, et les gens de la région la déconseillent nettement. Par prudence, Kouroun décide d'emporter des provisions pour trois jours, et de nouvelles piles pour les torches électriques.

Le château est en ruine en effet, mais l'accès des vaces n'est pas trop difficile.
Il n'existe plus aucune vie à Iss-Nur depuis longtemps, et il apparaît assez vite que Jean-Marc n'est sûrement pas passé à cet endroit auparavant - ce qui ne l'empêche pas de retrouver quelques souvenirs dispersés, et d'affirmer avec force qu'il est tout à fait sûr d'être "chez lui".

Toutefois, alors qu'ils parcourent un souterrain assez long, un pan de mur bascule derrière eux. La masse et les dimensions de ce pan de mur sont telles qu'il est tout à fait exclu d'essayer de le redresser ou de le démolir.
Tout retour en arrière est donc impossible.

***

Chapitre IV


Thierry et ses compagnons se rendent compte qu'ils cherchent une chose dont ils n'ont pas la moindre idée, dans un endroit dangereux dont ils ne connaissent absolument rien. Leur seul fil conducteur est la mémoire - quelque peu capricieuse - de Jean-Marc.

S'ils veulent éviter de tomber dans un nouveau piège, il est important pour eux d'en apprendre un peu plus. Noïm interroge alors le garçon, en lui posant des questions bien choisies et en sondant son esprit de temps en temps.

On apprend alors que Jean-Marc a été séparé des siens à l'âge de neuf ou dix ans. Depuis lors, il a été ballotté d'une famille à l'autre, et mal aimé partout, semble-t-il. Il a fini par s'enfuir, et il cherche maintenant son passé.

Par malheur, il n lui reste aucun vrai souvenir des années qui ont précédé son enlèvement - ni l'enlèvement lui-même. On l'a sans doute obligé à boire une " drogue d'oubli ", et il ne retrouvera peut-être jamais ses premières années. Toutefois, sans aucune preuve et sans que rien puisse expliquer d'où il tient cete conviction, il est persuadé que son passé se rattache à Iss-Nur - et rien ne lui fera abandonner cette idée.

***


Chapitre V


En continuant à suivre le souterrain qui descend de plus en plus profondément, les cinq garçons parviennent à une grotte assez vaste où ils rencontrent pour la première fois des traces de vie - des plantes d'apparence bizarre, et un animal étrange qui les attaque.

Après un combat assez bref, Kouroun réussit à la fois à se protéger et à ne pas tuer la bête, laquelle ne s'acharne pas trop et prend la fuite. Thierry, Didier, Kouroun et Noïm n'ont jamais vu de telles plantes ni un tel animal, ce qui prouve que cette grotte n'est sûrement pas un endroit comme les autres.

Jean-Marc quant à lui, est assez secoué par l'incident - et cela se voit nettement - mais il ne parle pas tout de suite. Il en parle le soir, à l'étape, et donne le nom de l'animal - un ékki. Il en a vu plus d'une fois, étant enfant.

De son côté, Didier se rappelle un livre qui l'a passionné, quelques mois plus tôt. Il y a 120 millions d'années, sous la pression des chaînes montagneuses sous-marines, le continent primitif ou Pangée s'est scindé en deux continents plus petits: le Gondwana et la Laurasie.

La grotte mystérieuse, avec ses plantes et ses animaux d'une autre ère, pourrait être un fragment minuscule du Gondwana, arraché par accident à son espace temps originel, et préservé ainsi des cataclysmes du crétacé.

Jean-Marc confirme la chose en termes très vagues: on lui a parlé, quand il était enfant et qu'il parlait une autre langue, oubliée aujourd'hui, d'un monde prodigieusement ancien - mais c'est tout ce qu'il peut se rappeler.

***

Chapitre VI


La grotte mystérieuse semble toujours plus large et plus haute à mesure qu'on y progresse. En réalité, ce n'est pas un fragment du Gondwana - c'es un passage qui y conduit, un vaste couloir naturel qui relie deux espaces-temps.

Comme ces espaces-temps n'ont rien de commun, la grotte est nécessairement une espèce de no man's land qui possède sa propre population, et dans lequel aucune créature des deux espaces-temps ne peut se sentir vraiment à l'aise.

Kouroun et ses compagnons devront donc la traverser en hâte, en essayant d'échapper au Sygurs - de légers sphéroïdes qui flottent librement dans l'air, et qui paralysent tout ce qu'ils touchent - et à quelques ekkis qui se sont acclimatés peu à peu dans la grotte.

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Chapitre VII


Une fois franchi le domaine des sygurs, nos amis découvrent à la sortie de la grotte un paysage immense, pratiquement sans limite - un prodigieux panorama de vallées, de forêts, de lacs et de montagnes qu'on n'aurait jamais osé imaginer à cette profondeur- baignant dans une magnifique lumière bleue, comme si tout l'éclat du soleil du Gondwana avait été enfoui sous terre avec son espace-temps.

Jean-Marc prend alors la tête du groupe, comme si la marche en solitaire l'aidait à retrouver ses souvenirs. Alors qu'il descend ainsi un sentier de montagne, à quinze ou vingt pas devant ses compagnons, il est attaqué par une femme robuste qui le renverse en quelques secondes, sans que les autres aient le temps de s'interposer - et quand jean-Marc est terrassé, avec le poignard de l'inconnue à quelques millimètres de sa gorge, il n'est plus possible d'intervenir.

Puis l'attitude de la femme change du tout au tout. On voit qu'elle reconnaît Jean-Marc. Elle le libère aussitôt, l'aide à se relever, fait de grandes excuses et donne son nom - Méghora. jean-Marc la reconnaît à son tour, et et se rappelle alors le nom qu'il portait lui-même autrefois - yssann.

La femme explique qu'on le croyait mort depuis longtemps, et révèle tout c qu'elle sait. Thierry et ses compagnons apprennent alors que, cinq ou six ans auparavant, Yssan gênait quelqu'un de puissant - Ej-Todd -qui s'est débarrassé de lui en le faisant enlever et emmener hors du Gondwana.

Méghora l'assure de son dévouement et de son amitié, et lui promet de l'aider à retrouver les siens - mais les conditions n'ont pas changé depuis cinq ou six ans, et Ej-Todd est toujours aussi puissant qu'autrefois. Une grande prudence s'impose donc.

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Chapitre VIII à X


Ici se situent trois chapitres dont il serait difficile de donner le détail dans le synopsis, parce qu'ils sont formés de petits épisodes qui s'imbriquent les uns dans les autres, et qui fournissent, dans un désordre voulu, certaines informations:

-le peuple des Udanes est si ancien que nul ne connaît son origine; il vit depuis toujours dans le Gondwana; son chef est le Seigneur Lug, dont Yssann est l'unique petit-fils;

-guidés et conseillés par Méghora, les cinq garçons traversent lentement le domaine d'Ej-Todd, en essayant de passer inaperçus, mais différents incidents, plus ou moins graves, les ralentissent:

de grosses pierres tombent en avalanche autour d'eux, ils sont attaqués par un troupeau d'ekkis, l'eau envahit brusquement une vallée qu'ils suivent, et un pont de cordages s'effondre au moment où ils traversent un ravin profond;

-en voyant à quelle cadence ces incidents se succèdent, tous se rendent compte que ce n'est pas le hazard qui les provoque: Ej-Todd doit avoir été informé du retour d'Yssann, et il cherche à l'écarter à nouveau.

Et d'heure en heure, tous sentent que le danger se rapproche lentement.

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Chapitre XI


Un soir, Méghora ressent une fatigue anormale, sans trop s'inquiéter - et le lendemain, sa lassitude semble avoir disparu. Tous reprennent leur marche mais deux heures plus tard, Méghora semble vraiment à bout de force.

Elle essaie d'abord de vaincre sa fatigue, mais elle n'a même plus la force de se tenir debout. Chacun comprend qu'elle est sérieusement malade - mais elle refuse de l'admettre, comme si elle craignait d'être abandonnée.

A la fin de la journée, des taches apparaissent sur ses mains et Yssann reconnaît la maladie - la mort bleue. Méghora meurt au cours de la nuit, sans avoir perdu connaissance.

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Chapitre XII


Les cinq adolescents enterrent Méghora et reprennent leur marche - ils voient le palais de Lug à l'horizon, et peuvent à présent se passer de guide.

La série d'embûches n'est cependant pas terminée. Un peu plus loin, le sol s'ouvre sous leurs pieds et il s'en faut de peu que Thierry ne soit englouti dans une crevasse.

Cette succession de petites catastrophes les convainc, de plus en plus, que tout a été préparé de longtemps par Ej-Todd - et la dernière partie du trajet se passe dans la crainte d'un nouveau piège.

Il parviennent cependant au palais de Lug, et y pénètrent sans difficulté. Ce palais est magnifique et témoigne d'une très grande civilisation, mais il est désert. Les cinq compagnons errent d'une salle à l'autre sans rencontrer personne, puis ils finissent par trouver le Seigneur Lug - solitaire et très vieux.

Lug reconnaît aussitôt Yssann et montre à la fois de la joie et de l'étonnement à le revoir, mais on sent un peu de gêne dans son attitude - comme si, en même temps, ce retour le contrariait.

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Chapitre XIII(prochainement)

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Descente au pays sans nom
daynohan ven 29 mars 02 17:57:27


Il s'agit d'un résumé du livre à la manière de Philippe Ebly, dans une lettre du 15 février 1985

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daynohan le ven 29 mars 02 18:14:48


Noïm et ses amis sont "rappelés" par Ygho, parce que Skaut a été enlevé par un ennemi d'Ar-Tann (qui est mort):
le sorcier Kevnid.

Il faut donc délivrer Skaut, enfermé dans le château de Kevnid, et çà va tourner assez mal:

Kouroun est mis hors de combat par une araignée venimeuse - Thierry et ygho sont séparés de Noïm et Didier, et doivent entrer seuls, de nuit, dans le château.

A l'intérieur du château, Ygho tombe dans un piège qui lui paralyse les deux jambes - de sorte que Thierry finit par se retrouver absolument seul pour combattre Kevnid - je n'en dis pas plus...

(pas content, le gars Thierry - et il râle, bien sûr)

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Les parias de l'an 2187
daynohan ven 29 mars 02 16:19:29

TEST

Petits résumés des chapitres 5 à 9 réalisés par l'auteur entre le 15 février et le 21 mars 1985, correspondant à un premier jet d'écriture. Résumés non officiels (source: correspondance privée).

daynohan le ven 29 mars 02 17:45:33

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parias

-J'achève aujourd'hui (15 février 1985) le chapitre VI des parias de l'an 2187.

Chapitre V: Jemmo et les quatre Conquérants réussissent à s'évader ensemble et à fuir dans la montagne. Puis, Jemmo sans donner d'explication, part de son côté en demandant à Serge et ses amis de ne pas chercher à le suivre.

Chapitre VI: Les quatre Conquérants continuent à fuir seuls vers la prairie, et trouvent du travail chez un fermier - qui les regarde avec attention, et n'accepte de les engager qu'après s'être asssurer qu'ils n'étaient pas des Iquits - il n'en dit pas davantage, et Serge et ses amis ne savent pas du tout ce qu'est un Iquit.

Chapitre VII: Pendant leur séjour à la ferme, Serge et ses compagnons en apprennent un peu plus sur les Iquits: ils sont pourchassés et tabassés systèmatiquement, et ne diffèrent que très peu des hommes - on ne sait pas très bien pourquoi on les déteste.

Chapitre VIII: Le fermier prévient Serge et ses amis que les gardes les recherchent comme " passeurs de fer ", et qu'on fouille la région pour les trouver à tout prix. Ils prennent donc la fuite vers le Mont Dore pour y chercher refuge. Et ils espèrent vaguement y retrouver Jemmo, qu'ils soupçonnent d'être un Iquit

Chapitre IX: Dans leur fuite vers le Mont Dore, Serge et ses amis abordent une montagne appelée La montagne aux serpents, défendue par des nappes de vipères et de fourmis carnivores - et où ils supposent que se cachent les Iquits...

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FIN DE LA PAGE